Dans un premier temps il convient de se mettre en tête le contexte moderne (comparé aux cinq autres oeuvres) de cette production.
Une chose est certaine : les singularités sont liées aux recherches artistiques de l'artiste. Nous sommes dans un contexte où les recherches techniques de l'art sont moindres. C'est donc devenu plus personnel, comme le montre la dernière oeuvre analysée (celle de Philippe de Champaigne).
Ainsi, on trouve une singularité plutôt voyante : l'architecture de la pièce. Cela fait partie de la volonté de l'artiste qui instaure son oeuvre dans l'innovation et donc, dans une recherche particulière : la nouveauté.
A ce stade de son travail, la volonté de Dali est de se détacher du surréalisme et d'innover... Seul. Car l'homme en lui-même désire être unique, son oeuvre alors le représente entièrement. Aussi unique que lui, sa réalisation est pleine de messages personnels, d'envie de montrer et de renouveller d'une manière singulière les thèmes anciens (n'oublions pas que cette oeuvre est réalisée durant l'époque religieuse et très artistique de Salvador Dali). L'oeuvre est donc très spéciale et très recherchée surtout. Dali l'a innondée de mysticisme. Tout en n'oubliant pas d'inclure, sous forme de parodie, une référence importante pour lui ; Léonard de Vinci.
C'est donc une oeuvre personnelle qui clôt l'analyse des recherches des artistes et des singularités dominantes de leurs oeuvres. L'oeuvre de Salvador Dali représente une partie de lui-même, avec des références, des thèmes et des envies personnelles.
L'article suivant résume l'analyse que j'ai fait de ces oeuvres et répond alors clairement à la problématique posée.
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