Pour la Cène de Léonard de Vinci on ne va pas s'étaler sur toutes les singularités de l'oeuvre (car il y en a beaucoup trop !) ce n'est pas le but de mes recherches. Je vais exposer les principales tout en repérant les recherches dominantes de l'artiste.
Pour citer quelques singularités de la fresque, on peut noter la disposition de Judas, qui est assis avec les autres apôtres, et qui est alors seulement repérable par ses expressions faciales et ses gestes des mains.
On peut aussi remarquer le point de fuite central, qui est alors le point de construction de tout l'espace de l'oeuvre. Il fait aussi sûrement partie des recherches de l'artiste, évidemment. Mais c'est avant tout une spécificité. Il est (comme je l'ai déjà précisé) le premier à imposer à sa Cène, une perspective parfaite. Réelle, représentant la réalité avec des moyens très géométriques -et mathématiques-.
Il y a aussi une rumeur sur cette oeuvre, laissant entendre que Léonard de Vinci aurait instauré une dimension politique dans son oeuvre, mais ce ne sont que des suppositions, qui sont difficilement vérifiables. Seulement si c'est le cas, c'est le précurseur du domaine dans ma recherche. Et c'est alors aussi une singularité vraiment remarquable.
On peut passer aux recherches artistiques qui sont facilement distinguées. La perspective est réelle. Le point de fuite central y est pour beaucoup et ainsi, s'ajoute dans la Cène de De Vinci, une disposition, une mise en oeuvre (voire une mise en scène) très importante, jouant un rôle majeur.
A partir de ces recherches, l'artiste met tout en place dans son oeuvre. La perspective est le moteur de sa fresque et d'autres accessoires importants mettent en place un jeu, une pièce de théâtre qui devient à elle seule : une singularité.
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